Nous essayons, mon compagnon et moi de profiter de l'instant présent.
Nous en parlions hier, mon compagnon avait les traits tirés, je voyais une boule d'angoisse dans sa gorge.
- Si on le responsabilise et on le valorise sans cesse.
- Si on essaye de le faire positiver.
- Si je trouve un projet commun avec lui, lui apprenant la perseverence.
- Si.... Mais la petite voix au fond me susurait "quoique tu tentes, Martin le mettra en echec"
Parceque je n'ai même pas réussi l'année dernière a stopper ses loghorées plaintiformes!
J'ai pas envie de me faire harceller une fois de plis.
J'ai pas envie d'avoir ses réactions d'ennervement pour des riens.
J'ai pas envie qu'il rentre.
C'est horrible d'écrire cela, j'aime mon fils, mais c'est hélas la vérité paradoxale de ce que je ressents.
Pourtant il en fait des efforts :
- Il prévient ses copains quand il va chez eux et qu'il sent son humeur cahotique.
- Il a pris sur lui au téléphone hier pour ne parler que du positif de ses vacances, bien qu'il ai fallu que pendant 2 jours je lui raccroche au nez, tellement il ralait sans interruption possible.
-
Peut-être que le fait de ne pas être nouveau au collège ça ira mieux ?... hein, peut-être?
Peut-être que d'avoir été 3 semaines avec son père ça l'a stabilisé ? ... hein, peut-être?
Peut-être il aura un intervalle libre ? ... hein, peut-être ?
Peut-être que la fée viendra avec sa baguette magique pour le transformer en Martin Jeckill... Hein, peut-être!
Mais voilà.... une petite voix tout au fond dit :
"La rentrée c'est la promesse d'une nouvelle année de stress et de crises."
"La rentrée c'est la promesse d'une nouvelle année de stress et de crises."
Nous en parlions hier, mon compagnon avait les traits tirés, je voyais une boule d'angoisse dans sa gorge.
Alors j'ai exposé toutes les pistes qui me venaient à l'esprit, celles que nous n'avions pas encore explorées et qui devait forcément solutionner nos rapports avec Martin. J'ai fais ma "sure de moi", t'inquiète ça devrais marcher, ya pas de raison.
- Si on le responsabilise et on le valorise sans cesse.
- Si on essaye de le faire positiver.
- Si je trouve un projet commun avec lui, lui apprenant la perseverence.
- Si.... Mais la petite voix au fond me susurait "quoique tu tentes, Martin le mettra en echec"
Parceque je n'ai même pas réussi l'année dernière a stopper ses loghorées plaintiformes!
J'ai pas envie de me faire harceller une fois de plis.
J'ai pas envie d'avoir ses réactions d'ennervement pour des riens.
J'ai pas envie qu'il rentre.
C'est horrible d'écrire cela, j'aime mon fils, mais c'est hélas la vérité paradoxale de ce que je ressents.
Pourtant il en fait des efforts :
- Il prévient ses copains quand il va chez eux et qu'il sent son humeur cahotique.
- Il a pris sur lui au téléphone hier pour ne parler que du positif de ses vacances, bien qu'il ai fallu que pendant 2 jours je lui raccroche au nez, tellement il ralait sans interruption possible.
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Peut-être que le fait de ne pas être nouveau au collège ça ira mieux ?... hein, peut-être?
Peut-être que d'avoir été 3 semaines avec son père ça l'a stabilisé ? ... hein, peut-être?
Peut-être il aura un intervalle libre ? ... hein, peut-être ?
Peut-être que la fée viendra avec sa baguette magique pour le transformer en Martin Jeckill... Hein, peut-être!
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